Bar
à travelos
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C'est en
discutant sur Internet que j'ai eu connaissance de cette adresse,
il s'agissait d'un restaurant de quartier à Paris.
Travaillant avec une clientèle de bureau, il fermait
le week-end. Et le samedi soir se transformait en boîte
à travelos.
Il y a longtemps que je rêvais
de réaliser mes phantasmes avec des transsexuels. C'était
l'occasion ou jamais. Je m'y rendis donc. Arrivé sur
place je m'acquittais du prix demandé, et première
surprise le préposé à l'entrée
m'en demande le double. Comme je m'en étonne, il m'explique
que l'entrée simple ne donne pas droit à l'entrée
de l'arrière salle, là où ont lieu les
débats les plus hards, me dira-t-il ! Bon ! Je ne vais
pas reculer maintenant. Je paye, le gardien me colle 2 coups
de tampons sur le dos des mains et j'entre.
Il doit y avoir une trentaine
de personne, peu de transsexuelles, mais les quelques-unes
présentes sont des merveilles. Je saurais plus tard
leurs noms L'une d'entre elle (Lisa) de race noire trône
au bar sur un haut tabouret, elle est vêtue d'une robe
super décolletée et très moulante, fendue
sur le coté, elle discute avec une copine à
la peau plus claire (Vanity) qui elle est vêtue d'une
mini-jupe et d'une sorte de mini pull noir à large
maille ne cachant rien de sa merveilleuse poitrine. Un peu
plus loin une autre coiffée de ravissantes boucles
blondes (Christy) est habillée en pantalon vert fluo
qui lui moule les fesses, le haut étant constitué
d'un corsage en voile noir semi-transparent.
Inutile de vous dire que ces
visions de rêve m'excitent au plus haut point. J'ignore
comment les choses se passent, ici, et je décide de
m'attabler en attendant la suite.
- Vous permettez que je m'installe
près de vous ?
Allons, bon ! qui est ce casse-pied,
il ne s'agit pas d'un transsexuel, mais d'un travesti, j'espère
que je ne me suis pas fait avoir en pénétrant
dans une boite à entraîneuses, le genre d'établissement
où on vous fait consommer très cher en vous
promettant la lune et en ne vous donnant rien.
- Qu'est ce qu'il fait chaud
ce soir ?
Voilà qui s'appelle avoir
de la conversation. Je décide d'avoir une attitude
de grognon pour faire partir l'indésirable, mais je
me dis qu'après tout je vais pouvoir me renseigner
sur les habitudes du lieu, quitte à lui demander d'aller
voir ailleurs, si ça ne tourne pas comme je veux !
- Je suis nouveau et je suis
un peu perdu !
- Je vois bien ! Alors vous
me trouver comment ?
Il faut dire que le type est
superbement maquillé, il manque malgré tout
le petit truc en plus, qui fait que si les transsexuels m'excitent
presque toujours, les travestis m'attirent beaucoup moins.
Mais un certain trouble commence à m'envahir. Le type
me raconte un tas de banalité. qu'il a du refaire 2
fois son maquillage, que ses chaussures neuves lui faisaient
mal. Malgré tout, il est plein d'humour, et en plus
il a un sourire désarmant. Sa conversation est soudain
interrompue par un immense éclat de rire. C'est Lisa,
le grand travelo noir, qui se marre comme une bienheureuse,
tous les regards se tournent un instant vers elle.
- Quelle merveille !
- Et tu n'as pas vu sa bite,
elle est splendide ? J'adore la sucer ! Ca t'intéresserait
?
- Bien sûr ! (j'ai répondu
d'instinct, sans réfléchir)
- Elle est très demandée,
mais je peux t'arranger ça !
J'ai compris l'allusion, le
type peut me rendre service, mais c'est donnant donnant !
Peu importe, je suis de plus en plus persuadé que ce
ne sera pas une corvée !
- Tu aimes sucer ?
- Oui j'adore !
- Et tu fais ça souvent
?
Je vais pour improviser un mensonge,
mais j'ai l'impression que quelque part la vérité
l'excitera davantage.
- En fait, je ne l'ai fait que
rarement, quelques bites au hasard de partouzes, rien de plus,
mais j'en ai gardé un excellent souvenir !
Soudain, le travesti (appelons
le Claude) effleure de sa main, ma braguette.
- Je peux ?
Je lui fais signe qu'oui, sa
caresse devient plus appuyée, et ma bite se met à
bander, il me descend alors la fermeture éclair et
me tripote à présent à travers le slip.
Je sais maintenant que je suis embarqué dans une aventure
dont j'ignore la suite. Il entreprend à présent
de me sortir ma bite de mon slip, la voici à l'air.
Je me demande si je suis le seul dans la salle à être
dans cet état, mais un coup d'œil circulaire me
rassure, l'ambiance est de plus en plus débridée,
des couples se forment mélangeant toutes les combinaisons
entre hommes, travestis et transsexuels, je crois même
apercevoir quelques femmes, mais on ne peut être sûr
de rien. Des types se baladent carrément la bite ou
le cul à l'air, c'est assez incroyable ! Claude a lâché
ma queue, c'est dommage, il branlait bien !
- Tu veux voir la mienne ?
Il soulève sa mini-jupe,
la vision de ses cuisses nues sous le porte-jarretelles me
provoque un trouble étrange, je regarde les jambes,
il s'est entièrement épilé. Ce type me
fascine, quand je pense que j'ai failli l'envoyer promener
tout à l'heure. Sa bite fait une bosse énorme
sous son slip de femme. A mon tour je lui caresse sa verge,
quelques moments à travers le slip, puis, je lui sors
carrément. Je commence un lent mouvement de masturbation,
attendant je ne sais quel déclic pour pouvoir lui sucer
!
- Je vais te dire mon fantasme.
Je viens une fois par semaine ici, travesti en femme. Mon
truc c'est de m'exhiber et de me faire sucer par un nouveau.
Il y en pas toujours, et puis il y en a qui ne veulent pas.
Aller, viens on y va !
Il me prend alors par la main,
et veut me faire lever !
- Attend que je me rhabille,
quand même !
- Mais non, reste comme cela,
c'est bien plus excitant !
Puisqu'il le dit ! Il m'entraîne
au bar !
- Lisa, soit sympa de me prêter
un moment ton tabouret !
- D'accord, tu sais bien que
je ne peux rien te refuser.
- Au fait quand tu auras un
moment tu pourras t'occuper du trou du cul de ce jeune homme
?
- Pas de problèmes je
vais l'enculer bien comme il faut, ton copain
Claude s'est maintenant installé
sur le tabouret, il écarte les jambes, soulève
sa jupe et me tend sa bite !
- Vas-y suce !
Je me demande à quoi
sert l'arrière salle, et pourquoi j'ai payé
double tarif, puisque apparemment on peut tout faire ici !
Mais c'est sans hésiter que je me saisis de son pénis
en érection et que j'en approche la langue pour lui
lécher le bout du gland, j'enferme ensuite celui-ci
entre mes lèvres et le fait pénétrer
plus avant dans ma bouche ! Que c'est bon, je l'engloutis,
puis commence une série de va-et-vient. Un petit rassemblement
se forme autour de nous. Je sens quelqu'un qui me baisse mon
pantalon. Je laisse faire et je sens bientôt une langue
qui s'attaque à mon trou du cul. Sensation étrange
mais délicieuse. Un autre me branle la bite, mais il
ne fait pas très bien. Soudain je sens la bite de Claude
atteinte de soubresauts. Il décharge dans ma bouche.
J'hésite une seconde entre avaler le sperme ou le recracher,
mais voici qu'il m'embrasse sur la bouche en récupérant
une partie. Je me retrouve tout con, là devant le bar,
le pantalon par terre et la bite à l'air.
Je me rhabille un tout petit
peu, mais voilà Lisa qui m'entraîne dans l'arrière
salle. Je vais enfin savoir ce qu'il y a à voir la-dedans.
Je m'aperçois d'ailleurs qu'à l'entrée
personne ne contrôle si j'en ai payé le droit.
On a disposé dans cette salle une dizaine de matelas
recouvert de serviette éponges. Sur l'un de ceux-ci,
Christy, l'un des travelos que j'avais repéré
à l'entrée est en train de se faire enculer
par un type.
Lisa se déshabille prestement,
sans aucune élégance. Son corps est magnifique,
d'un joli noir tirant sur le marron, les seins sont galbés
à souhait et terminé par de jolis tétons
arrogants tout noirs. Sa bite est plus sombre que le reste,
d'un bon volume avec un gland magnifique
- Tu veux me sucer un peu, avant
?
Et comment que je veux la sucer
! Je me précipite vers ce chef d'œuvre et le travaille
dans ma bouche, trop peu de temps, hélas ! Lisa veut
bien rendre service, mais il ne faut pas que ça dure
trop longtemps.
- Tu veux que j'encule comment,
à quatre pattes ou les jambes en l'air ?
- Les jambes en l'air, comme
ça je peux te voir !
- T'as raison, c'est meilleur
!
Je me couche, je lève
les jambes, écarte mes fesses au maximum, pour laisser
le passage, Lisa, elle à mis un préservatif
lubrifié et essaye de passer
- Ben dis donc ! Ça doit
faire une éternité que tu t'es pas fais mettre,
toi ! Qu'est ce que tu es serré !
Je ne vais pas lui dire quand
même que je suis puceau du cul ! Il passe enfin, ça
fait un peu mal, il fait pénétrer la moitié
de sa verge, puis tout. Un curieux plaisir m'envahit tandis
que Lisa commence une série de va-et-vient de plus
en plus rapide. Au bout de 10 minutes, elle arrête,
je n'en puis plus, c'est trop bon !
- Ca a été ?
- Super !
Elle me fait un bisou sur le
nez et s'en retourne au bar !
Je voudrais bien jouir, mais
je ne sais pas trop comment, et décide à mon
tour de rejoindre la salle, mais auparavant, il faut que j'aille
faire un petit pipi. Les toilettes sont relativement grandes
comme on en faisait autrefois, il y a 3 urinoirs, 2 sont occupés
par des hommes, et l'un d'entre eux se fait branler par l'autre,
un travesti (Frédérique) est posté un
peu en retrait je ne sais pas ce qu'il attend, pas l'urinoir
puisqu'il est libre. Je ne cherche pas trop à savoir,
me dirige donc vers la pissotière de libre et dégage
ma bite quand soudain une main se pose dessus, je regarde
à qui appartient cette impertinente mimine.
C'est le travesti qui s'est
donc emparé de ma bite et qui la masturbe. Je me laisse
faire.
- Tu aimes les jeux de pipi
?
Je ne sais pas quoi répondre,
d'abord je ne sais pas exactement ce qu'il entend par-là.
Il se passe décidément de drôles de choses
dans cette boite. Le type voyant que je suis un peu perdu
reformule sa question :
- Ca ne te plairait pas de pisser
sur un beau travesti comme moi !
J'ai failli dire non, mais je
me ravise, j'ai déjà pratiqué très
rarement quelques jeux uro, et cela ne m'a pas déplu,
et puis, je suis là pour m'éclater et découvrir
un tas de choses.
- T'es pas pressé, on
va attendre que ces deux connards se tirent de là !
Je comprends qu'il a du essuyer
un refus des deux types et qu'il n'a pas envie de se montrer
en spectacle devant eux. Je me mets donc en retrait à
coté du travesti
- Je t'ai vu tout à l'heure
sucer Claude ! Tu à l'air d'être doué
!
Tout en me parlant, il me tripote
la queue que j'ai rangée dans son slip, mais sans remonter
la braguette, il me la sort carrément, et s'accroupis
devant moi pour me sucer. Il fait ça très bien,
mais j'ai toujours mon envie de pisser et je préférais
me soulager avant de jouir. Enfin les deux branleurs quittent
la toilette. Alors à toute vitesse, Frédérique
se déshabille sur place, me tend ses vêtements
et s'agenouille devant la cuvette, face à moi
- Vas-y pisse-moi dessus !
Je vise son sexe et l'asperge
de mon urine !
- Remonte !
Je remonte légèrement
lui mouillant le torse !
- Garde en une goutte !
Je suis à nouveau interloqué,
mais je comprends, il veut que je lui pisse maintenant dans
la bouche, sans pour autant je lui abîme son savant
maquillage. J'introduis donc mon sexe dans sa bouche et lui
donne ma dernière goutte.
Il a l'air tout content et pour
me remercier veut me rouler une pelle. Je n'hésite
même plus et l'embrasse, mélangeant nos saveurs
intimes.
- Tu veux m'enculer ? demandes-t-il
- Pourquoi pas !
Je n'avais pas envisagé
de jouir de cette façon, mais après tout, pourquoi
pas ? Il ne se rhabille même pas et nous nous dirigeons
vers l'arrière salle qui en quelques minutes s'est
considérablement remplie
Christy est toujours là,
se faisant toujours prendre par le même type. A un autre
endroit c'est Lisa qui se livre à une partie de triolisme
avec un grand noir à perruque qui l'encule, ce dernier
se faisant sucer le cul par un troisième larron. Encore
ailleurs c'est Vanity qui encule un type qui a les jambes
relevés et qui suce un autre homme. Mais la véritable
attraction c'est Claude qui penché en avant se fait
fouetter les fesses à grand coup de martinet par un
grand escogriffe qui se masturbe en même temps.
Plusieurs hommes se branlent,
se délectant du spectacle.
Frédérique m'entraîne
sur un matelas, je me déshabille à nouveau.
- On va se sucer d'abord !
Ca me paraît une excellente
idée ! Nous nous plaçons en position de 69,
et nous nous suçons mutuellement la bite, la sienne
est encore imprégnée du goût de mon urine,
mis qu'importe, je m'adapte très vite ce soir ! Soudain
Frédérique lâche mon gland pour s'intéresser
à mon trou du cul, cela ne fera que la deuxième
fois qu'on me le léche ce soir, et je commence à
apprécier hautement cette caresse que je ne connaissais
pas. Bien sûr, je lui rends la politesse et m'active
à lui donner des petits coups de langues dans son petit
trou.
- C'est trop bon, continue !
Certes, mais maintenant, j'ai
envie de jouir ! Je décide malgré tout d'être
correct et de retarder mon plaisir pour continuer à
le satisfaire. C'est lui-même qui mettra fin à
cet anulingus et qui se placera à quatre pattes, me
tendant les fesses, le trou béant ! Sans hésiter
j'enfile une capote et pénètre l'anus du type
qui a du en voir défiler un certain nombre. J'essaie
à la fois de retarder ma jouissance et de lui donner
du plaisir, pas facile, je n'ai jamais enculé personne,
moi !
- Ne jouis pas dans mon cul
! Donne-moi ton sperme !
Il était temps, je me
retire, ôte le préservatif et lui tend ma bite
afin qu'il recueille ma semence. Je suis sur qu'il va m'embrasser
sur la bouche. Effectivement, c'est une manie ce soir !
- Bon, a mon tour de jouir,
tu me donnes ton cul ?
J'aurais préféré
attendre un peu que l'excitation revienne, mais bon s'il veut
m'enculer, qu'il m'encule, après tout c'est si bon
!
- Vas y encule-moi !
Et pour la deuxième fois
de la soirée, mon cul accueillit une bonne bite ! Frédérique
prit son plaisir assez rapidement. Pour ma part je suis épuisé.
Je retourne dans la grande salle
ou il n'y a plus grand monde à part quelques «
couples » qui se branlent ou qui se sucent sur leur
banquette.
J'ai un coup de pompe pas possible,
je décide de partir. Mais vivement Samedi prochain
que je revienne ! |