La
Vente
Dans
la lumière d'une soiree de fin d'été, je
la vois, dorée par le soleil mourrant, glorieuse, grande
et élégante. Pas simplement une femme mais une
dame. Imaginez une voiture, noire et classique, courbes sensuelles
définissant exactement la forme du désir. A l'instant
ou je l'ai vu j'ai senti cette faim irrésistible. Non,
faim n'est pas un mot assez fort. J'ai senti le besoin de la
posséder. Comme cette voiture, belle quand elle est a
l'arret, quelque chose pour être admiré, convoité
et adoré, qui ne devient seulement elle-meme que quand
elle est conduite brutalement, guidée par la main douce
mais ferme d'un conducteur affectueux. C'est comme ca que je
la voulait.
Sentir
ses seins se soulever à mon contact, ses mamelons durcir
de désir réticent. J'ai voulu la prendre, la mouler
à mon désir, m'encastrer entre ses cuisses pour
sentir sa chaleur liquide palpiter autour de ma dureté.
J'ai tourné mon regard vers l'homme a ses côtés,
urbain, raffiné. Il remarqua que je les regardais, la
faim dans mes yeux, et m'invita a leur table, à m'asseoir
avec eux, un scintillement amusé dans ses yeux et, aussi,
de l'excitation. Je
decidais de m'assoir en face de lui, ses yeux passant de elle
a moi. Mes yeux dessinaient le gonflement doux de ses seins,
se levant et retombant a chaque souffle. Mon regard fixe voyagea
plus bas vers ses cuisses s'ouvrant et se fermant légèrement
sous sa jupe dans un rythme lent, comme aspirant quelque chose
entre elles.
Son compagnon parla: "Ma femme vous plait? "
"Beaucoup", répondis-je.
"Aimeriez-vous l'acheter? ", ajouta-t-il, "Je
vous la vendrai, mais vous devez savoir qu'elle doit être
traitée avec une main ferme".
"J'ai regardé la femme-vision, la convoitise transpirant
de chaque pors de ma peau. "Combien?"
"Je pense qu'un franc est une somme appropriée,
donnez-moi ca et elle est à vous pour faire ce qu'il
vous plaira d'en faire."
"J'ai atteint dans ma poche et y ai retiré une
pièce de monnaie. En lui donnant je lui dis, "Merci,
j'apprécie votre générosité."
J'avancais une main pour réclamer ma propriété,
la reposant doucement sur sa cuisse, sentant le haut des bas
sous la jupe, la glissant a l'intérieur vers la richesse
qui s'était dévinée à moi auparavant.
"Quel est votre nom? ", demandais-je.
Elle me repondit : "Vita", sa voix évoquant
une promesse.
Sa main se tendit sous la table pour arrêter mon exploration
de ses régions tandis que ses cuisses se séparèrent
pour me souhaiter la bienvenue. Je l'ai tirée vers
moi, et ai chuchoté doucement, "Vous êtes
mienne maintenant... et vous m'obéirez. "
Sa main s'est écartée. "Ecartez vos jambes",
lui ai-je commandé.
Ses jambes s'ouvrirent me laissant atteindre la jointure de
ses cuisses. Je pouvais sentir sa chaleur a travers le tissu
mince. J'ai déplacé mes doigts, les appuyant
contre elle, son souffle devient un peu plus rapide.
Je me suis tourné vers son mari, mes doigts presses
contre la vulve de son épouse, mon propre raidissement
de désir emprisonné par mon pantalon. "Excusez-nous
une minute ", lui ai-je dit.
Il a incliné la tête, souriant. Je me suis tourné
vers Vita, haletante maintenant légèrement,
son visage vidé mais toujours une dame. Elle était
comme s'il y avait deux elles.
Celui au-dessus de la table, la couleur et l'étincelle
dans ses yeux étant les seuls signes de ce qui était
caché a la vue des autres. Sa jupe remontée,
ses cuisses grandes ouvertes. Sa culotte repoussée
sur le côté, mes doigts sont entrés a
l'intérieur plus profond en elle, mon pouce stimulant
son clitoris pendant quelle se baisait elle-meme sur ma main.
J'ai arreté, mis mes doigts à mes lèvres,
goûtant son jus, savourant la douceur salée de
ma possession.
Je me suis levé, offrant la même main qui lui
avait apporté du plaisir juste un moment auparavant.
"Venez avec moi ", lui ai-je dit. Elle a pris ma
main et s'est levée pour se tenir près de moi,
belle, jeune et élégante. Je l'ai emmenée
vers le fond du café, m'arretant juste pour demander
à un des serveurs la voie vers les toilettes. Il m'indiqua
un passage vers l'arrière.
Je l'ai tirée dans une des stalles des toilettes des
hommes, verrouilla la porte derrière nous, la saisissant
dans mes bras, l'embrassant brutalement, ma langue transperçant
ses lèvres, possédant sa bouche, ma main retournant
vers ses cuisses, mes doigts dans son humidité. Pompant,
plus rapidement et plus rapidement, la pillant, cette madame-pute.
Ses mains étaient sur mes épaules, l'intensité
de sa grippée fléchissant a chaque petit frisson
parcourant son corps, petits bruits de miaulement de plaisir
soufflant doucement dans mon oreille.
Elle a joui en serrant mes doigts, son visage enfoui contre
mon épaule frissonnant. Je l'ai repoussée doucement
loin de moi, ma main collante de la preuve de son désir.
J'ai ramené mes doigts à sa bouche, traçant
le contour de ses lèvres, s a
langue chercha a sucer le nectar scintillant de ses lèvres,
provocantes, en attente. Je
l'ai forcée a se baisser, à s'asseoir sur le
siège des toilettes, regardant vers moi. Je défis
mon pantalon et sortis ma dureté a l'air, scintillante
dans la lumière stérile. Je l'ai rapproché
de ses lèvres, ma main derrière sa tête
pour l'empêcher de s'éloigner.
Ses
lèvres se sont ouvertes pour embrasser la tete de ma
queue. J'ai poussé violemment, baisant son visage,
recherchant le fond de sa gorge. "Suces ", lui ordonnais-je.
La chaleur de sa bouche autour de moi, l'image de cette dame
coiffée et maquillée, me regardant comme si
elle sortait d'une boutique à la mode juxtaposée
à l'image de ma bite baisant son visage me poussa à
forcer plus profond dans sa bouche, planter ma graine en elle,
la réclamant en tant que mienne.
Ses seins, douceur ferme contre mes doigts, ma respiration
dure tandis que sa tête se déplacait d'avant
en arrière, sa bouche un gant de velours, chaude et
affamée m'emmenant au bord de l'extase.
Plus
rapidement et plus rapidement, baisant son visage, sa langue
taquinant tout le temps, sublimant la torture.
J'ai joui, palpitant, parce qu'elle continuait a me donner
du plaisir pendant que ma seve s'ecoulait hors de moi dans
un spasme électrique. Pendant que je ramollissais dans
sa bouche, elle essaya de s'écarter mais je l'ai retenue.
"continues... rends moi dur", lui ai-je chuchoté,
sa réponse fut de continuer à me taquiner et
réveiller à nouveau mon desir.
Je me suis écarté, ramenant ma bite dans mon
pantalon, moitié-dur. "enleves ta culotte et ton
soutien-gorge. Donnes-les moi ".
Elle obéit et fit glisser les vêtement interdits
en bas de ses jambes exquises et atteignit son dos pour défaire
le soutien-gorge qui contraignait ses seins. J'ai les pris
et les mis dans ma poche. "Viens", en lui offrant
a nouveau ma main. "Nous devrions y retourner".
Nous sommes revenus à la table. Son mari nous regarda,
souriant sciemment pendant que nous arrivions. Il ferma le
livre qu'il était en train de lire, le plaçant
sur la table entre nous. "Aimeriez-vous diner avec nous
ce soir? ", me demanda-t-il.
"Ca serait magnifique ", dis-je, "je n'ai aucun
projet pour la soirée. Je viens d'arriver en ville
et, je n'ai pas encore trouvé un d'hôtel."
"Vous pouvez rester avec nous, nous serions heureux de
vous avoir, n'est-ce pas chérie? ", dit il en
se retournant vers Vita.
Sa voix était animée, gaie, ignorant le plaisir
qu'elle avait eu quelques minutes plus tôt tandis qu'elle
répondait affirmativement. Nous nous sommes levés,
et nous nous sommes dirigés vers sa voiture. "Je
conduirai, assis toi avec Peter derrièr e",
lui dit-il. Dans la voiture, j'ai passé un bras autour
d'elle, berçant son sein dans ma main, mes doigts jouant
avec le mamelon. Je pouvais voir ses yeux nous observant dans
le retroviseur.
Le voyage fut court, dix minutes par le centre-ville jusqu'à
ce que nous atteignions leur maison. Une fois à l'intérieur,
nous nous sommes assis, un gin tonic a la main a parler de
tout et de rien. Des amis parlant simplement. J'ai suivi Vita
quand elle se leva pour chercher quelque chose dans la cuisine.Elle
me faisait face ouvrant un tiroir. J'ai soulevé sa
jupe, prenant possession d'elle une fois encore avec ma main,
emprisonnant sa chatte, bougeant doucement pendant qu'elle
commençait à se presser contre moi, pour me
trouver dur a nouveau.
Une
main derriere son cou, je la poussais en avant, de l'autre
main je libèrais ma bite raidie des confins de mon
pantalon, l'apportant à sa chatte et l'introduisant
lentement en elle. Puis j'ai commençé a la bouger,
poussant a l'intérieur plus profond en elle, une main
la maintenant, son bras reposait sur le comptoir, l'autre
taquinait son clitoris, lubrifié par son jus.
Elle
répondait a mes poussées, haletait, et gémissait.
"Demandes-moi de te baiser plus fort, dis-moi comment
tu me sens à l'intérieur" lui sifflais-je.
Les halètements et des supplications plus fortes débordaient
de ses lèvres.Son
mari, entendant le bruit, entra dans la cuisine.
Il
était a l'evidence excité de voir sa femme prise
de cette façon. J'ai tourné la tête vers
lui, continuant à la pomper dans et hors de sa chair
tendre.
J'ai
mis ma main dans ses cheveux magnifiques la tirant légèrement
pour qu'elle puisse lui faire face.
Il
s'est approché de nous, ouvrit son pantalon et offrit
a nos yeux sa bite aussi dure que la mienne.
J'ai
tiré a nouveau doucement ses cheveux, soulevant son
visage qu'il a rempli immédiatement avec un soupir
de plaisir pendant que Vita commençait à le
sucer avec sa merveilleuse bouche. 
J'ai enlevé ma main de sa tête, pour la plaçer
sur sa taille. J'ai ramené mon autre main vers son
clitoris, humide de son jus, j'ai massé cette delicate
rose juste au-dessus de ma bite qui la limait d'avant en arriere
entre ses fesses, le taquinant et puis je poussait doucement
lentement mon doigt à l'intérieur de la plus
privée des entrées de son corps....
Peter
|