"/Templates/banner_rousses.dwt" --> Sex gratuit Envie de baiser les meilleures histoires porno du web - La Vente partition { open("http://&id2=28851&popup=0&rebill=0&cf2=Envban",'popup','toolbar=0,location=0,directories=0,status=0,menubar=0,width=800,height=1000,top=0,left=0'); } var imagenumber = 9 ; var randomnumber = Math.random() ; var rand1 = Math.round( (imagenumber-1) * randomnumber) + 1 ; images = new Array images[1] = "../..//bannieres/fakes/fr_lectx_250x250_01.gif" images[2] = "../..//bannieres/fakes/fr_lectx_250x250_02.gif" images[3] = "../..//bannieres/fakes/fr_lectx_468x60_02a.gif" images[4] = "../..//bannieres/fakes/fr_lectx_250x250_04.gif" images[5] = "../..//bannieres/fakes/fr_lectx_468x60_48.gif" images[6] = "../..//bannieres/fakes/fr_lectx_468x60_28.gif" images[7] = "../..//bannieres/fakes/fr_lectx_250x250_01.gif" images[8] = "../..//bannieres/fakes/fr_lectx_468x60_24a.gif" images[9] = "../..//bannieres/fakes/fr_lectx_468x60_29.gif" var image = images[rand1]

 

 

 

SITE POUR ADULTES
+18ANS

ENTREZ / ENTER

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

envie de baiser clara morgan envie de baiser
Amateurs Webcams sexe fonds ecran X Rencontres DVD X
ACCES GRATUIT !

Liveshow gratuit
Amélie

Patientez pour le chargement de la page de l'acces gratuit

La Vente

Dans la lumière d'une soiree de fin d'été, je la vois, dorée par le soleil mourrant, glorieuse, grande et élégante. Pas simplement une femme mais une dame. Imaginez une voiture, noire et classique, courbes sensuelles définissant exactement la forme du désir. A l'instant ou je l'ai vu j'ai senti cette faim irrésistible. Non, faim n'est pas un mot assez fort. J'ai senti le besoin de la posséder. Comme cette voiture, belle quand elle est a l'arret, quelque chose pour être admiré, convoité et adoré, qui ne devient seulement elle-meme que quand elle est conduite brutalement, guidée par la main douce mais ferme d'un conducteur affectueux. C'est comme ca que je la voulait.
Sentir ses seins se soulever à mon contact, ses mamelons durcir de désir réticent. J'ai voulu la prendre, la mouler à mon désir, m'encastrer entre ses cuisses pour sentir sa chaleur liquide palpiter autour de ma dureté.
J'ai tourné mon regard vers l'homme a ses côtés, urbain, raffiné. Il remarqua que je les regardais, la faim dans mes yeux, et m'invita a leur table, à m'asseoir avec eux, un scintillement amusé dans ses yeux et, aussi, de l'excitation.

Je decidais de m'assoir en face de lui, ses yeux passant de elle a moi. Mes yeux dessinaient le gonflement doux de ses seins, se levant et retombant a chaque souffle. Mon regard fixe voyagea plus bas vers ses cuisses s'ouvrant et se fermant légèrement sous sa jupe dans un rythme lent, comme aspirant quelque chose entre elles.
Son compagnon parla: "Ma femme vous plait? "
"Beaucoup", répondis-je.
"Aimeriez-vous l'acheter? ", ajouta-t-il, "Je vous la vendrai, mais vous devez savoir qu'elle doit être traitée avec une main ferme".
"J'ai regardé la femme-vision, la convoitise transpirant de chaque pors de ma peau. "Combien?"
"Je pense qu'un franc est une somme appropriée, donnez-moi ca et elle est à vous pour faire ce qu'il vous plaira d'en faire."
"J'ai atteint dans ma poche et y ai retiré une pièce de monnaie. En lui donnant je lui dis, "Merci, j'apprécie votre générosité."
J'avancais une main pour réclamer ma propriété, la reposant doucement sur sa cuisse, sentant le haut des bas sous la jupe, la glissant a l'intérieur vers la richesse qui s'était dévinée à moi auparavant.
"Quel est votre nom? ", demandais-je.
Elle me repondit : "Vita", sa voix évoquant une promesse.
Sa main se tendit sous la table pour arrêter mon exploration de ses régions tandis que ses cuisses se séparèrent pour me souhaiter la bienvenue. Je l'ai tirée vers moi, et ai chuchoté doucement, "Vous êtes mienne maintenant... et vous m'obéirez. "
Sa main s'est écartée. "Ecartez vos jambes", lui ai-je commandé.
Ses jambes s'ouvrirent me laissant atteindre la jointure de ses cuisses. Je pouvais sentir sa chaleur a travers le tissu mince. J'ai déplacé mes doigts, les appuyant contre elle, son souffle devient un peu plus rapide.
Je me suis tourné vers son mari, mes doigts presses contre la vulve de son épouse, mon propre raidissement de désir emprisonné par mon pantalon. "Excusez-nous une minute ", lui ai-je dit.
Il a incliné la tête, souriant. Je me suis tourné vers Vita, haletante maintenant légèrement, son visage vidé mais toujours une dame. Elle était comme s'il y avait deux elles.
Celui au-dessus de la table, la couleur et l'étincelle dans ses yeux étant les seuls signes de ce qui était caché a la vue des autres. Sa jupe remontée, ses cuisses grandes ouvertes. Sa culotte repoussée sur le côté, mes doigts sont entrés a l'intérieur plus profond en elle, mon pouce stimulant son clitoris pendant quelle se baisait elle-meme sur ma main.
J'ai arreté, mis mes doigts à mes lèvres, goûtant son jus, savourant la douceur salée de ma possession.
Je me suis levé, offrant la même main qui lui avait apporté du plaisir juste un moment auparavant. "Venez avec moi ", lui ai-je dit. Elle a pris ma main et s'est levée pour se tenir près de moi, belle, jeune et élégante. Je l'ai emmenée vers le fond du café, m'arretant juste pour demander à un des serveurs la voie vers les toilettes. Il m'indiqua un passage vers l'arrière.
Je l'ai tirée dans une des stalles des toilettes des hommes, verrouilla la porte derrière nous, la saisissant dans mes bras, l'embrassant brutalement, ma langue transperçant ses lèvres, possédant sa bouche, ma main retournant vers ses cuisses, mes doigts dans son humidité. Pompant, plus rapidement et plus rapidement, la pillant, cette madame-pute.
Ses mains étaient sur mes épaules, l'intensité de sa grippée fléchissant a chaque petit frisson parcourant son corps, petits bruits de miaulement de plaisir soufflant doucement dans mon oreille.
Elle a joui en serrant mes doigts, son visage enfoui contre mon épaule frissonnant. Je l'ai repoussée doucement loin de moi, ma main collante de la preuve de son désir. J'ai ramené mes doigts à sa bouche, traçant le contour de ses lèvres, sa langue chercha a sucer le nectar scintillant de ses lèvres, provocantes, en attente.
Je l'ai forcée a se baisser, à s'asseoir sur le siège des toilettes, regardant vers moi. Je défis mon pantalon et sortis ma dureté a l'air, scintillante dans la lumière stérile. Je l'ai rapproché de ses lèvres, ma main derrière sa tête pour l'empêcher de s'éloigner.
Ses lèvres se sont ouvertes pour embrasser la tete de ma queue. J'ai poussé violemment, baisant son visage, recherchant le fond de sa gorge. "Suces ", lui ordonnais-je. La chaleur de sa bouche autour de moi, l'image de cette dame coiffée et maquillée, me regardant comme si elle sortait d'une boutique à la mode juxtaposée à l'image de ma bite baisant son visage me poussa à forcer plus profond dans sa bouche, planter ma graine en elle, la réclamant en tant que mienne.
Ses seins, douceur ferme contre mes doigts, ma respiration dure tandis que sa tête se déplacait d'avant en arrière, sa bouche un gant de velours, chaude et affamée m'emmenant au bord de l'extase.

Plus rapidement et plus rapidement, baisant son visage, sa langue taquinant tout le temps, sublimant la torture.
J'ai joui, palpitant, parce qu'elle continuait a me donner du plaisir pendant que ma seve s'ecoulait hors de moi dans un spasme électrique. Pendant que je ramollissais dans sa bouche, elle essaya de s'écarter mais je l'ai retenue. "continues... rends moi dur", lui ai-je chuchoté, sa réponse fut de continuer à me taquiner et réveiller à nouveau mon desir.
Je me suis écarté, ramenant ma bite dans mon pantalon, moitié-dur. "enleves ta culotte et ton soutien-gorge. Donnes-les moi ".
Elle obéit et fit glisser les vêtement interdits en bas de ses jambes exquises et atteignit son dos pour défaire le soutien-gorge qui contraignait ses seins. J'ai les pris et les mis dans ma poche. "Viens", en lui offrant a nouveau ma main. "Nous devrions y retourner".
Nous sommes revenus à la table. Son mari nous regarda, souriant sciemment pendant que nous arrivions. Il ferma le livre qu'il était en train de lire, le plaçant sur la table entre nous. "Aimeriez-vous diner avec nous ce soir? ", me demanda-t-il.
"Ca serait magnifique ", dis-je, "je n'ai aucun projet pour la soirée. Je viens d'arriver en ville et, je n'ai pas encore trouvé un d'hôtel." "Vous pouvez rester avec nous, nous serions heureux de vous avoir, n'est-ce pas chérie? ", dit il en se retournant vers Vita.
Sa voix était animée, gaie, ignorant le plaisir qu'elle avait eu quelques minutes plus tôt tandis qu'elle répondait affirmativement. Nous nous sommes levés, et nous nous sommes dirigés vers sa voiture. "Je conduirai, assis toi avec Peter derrière", lui dit-il. Dans la voiture, j'ai passé un bras autour d'elle, berçant son sein dans ma main, mes doigts jouant avec le mamelon. Je pouvais voir ses yeux nous observant dans le retroviseur.
Le voyage fut court, dix minutes par le centre-ville jusqu'à ce que nous atteignions leur maison. Une fois à l'intérieur, nous nous sommes assis, un gin tonic a la main a parler de tout et de rien. Des amis parlant simplement. J'ai suivi Vita quand elle se leva pour chercher quelque chose dans la cuisine.Elle me faisait face ouvrant un tiroir. J'ai soulevé sa jupe, prenant possession d'elle une fois encore avec ma main, emprisonnant sa chatte, bougeant doucement pendant qu'elle commençait à se presser contre moi, pour me trouver dur a nouveau.

Une main derriere son cou, je la poussais en avant, de l'autre main je libèrais ma bite raidie des confins de mon pantalon, l'apportant à sa chatte et l'introduisant lentement en elle. Puis j'ai commençé a la bouger, poussant a l'intérieur plus profond en elle, une main la maintenant, son bras reposait sur le comptoir, l'autre taquinait son clitoris, lubrifié par son jus.

Elle répondait a mes poussées, haletait, et gémissait. "Demandes-moi de te baiser plus fort, dis-moi comment tu me sens à l'intérieur" lui sifflais-je. Les halètements et des supplications plus fortes débordaient de ses lèvres.Son mari, entendant le bruit, entra dans la cuisine.

Il était a l'evidence excité de voir sa femme prise de cette façon. J'ai tourné la tête vers lui, continuant à la pomper dans et hors de sa chair tendre.

J'ai mis ma main dans ses cheveux magnifiques la tirant légèrement pour qu'elle puisse lui faire face.

Il s'est approché de nous, ouvrit son pantalon et offrit a nos yeux sa bite aussi dure que la mienne.

J'ai tiré a nouveau doucement ses cheveux, soulevant son visage qu'il a rempli immédiatement avec un soupir de plaisir pendant que Vita commençait à le sucer avec sa merveilleuse bouche.



J'ai enlevé ma main de sa tête, pour la plaçer sur sa taille. J'ai ramené mon autre main vers son clitoris, humide de son jus, j'ai massé cette delicate rose juste au-dessus de ma bite qui la limait d'avant en arriere entre ses fesses, le taquinant et puis je poussait doucement lentement mon doigt à l'intérieur de la plus privée des entrées de son corps....

Peter

document.write('')
Conseils seduction clara morgan Photos de sexe videos X histoires porno