Chypre
Cette année là nous habitions encore
en Bourgogne, nous nous étions mariés
l'an passé, en janvier, peu après mon
retour du service militaire. Ingénieur informaticien
j'étais souvent appelé pour dépanner
les clients de ma société. Ces déplacements
étaient généralement courts.
Mais là, je travaillai sur un gros projet,
et pendant 6 mois j'ai dû m'absenter du dimanche
soir jusqu'au vendredi soir.
Un mardi, catastrophe, l'ordinateur un des plus puissants
de l'époque (un IBM 360) est en surcharge et
grille littéralement. Le patron de l'époque
me conseilla de rentrer chez moi et de prendre des
congés jusqu'à la fin de la semaine.
Un peu avant midi me voilà parti, tout joyeux,
de la bonne surprise que je vais faire à ma
femme. Arrivé vers 16 heures je saute dans
un taxi et un quart d'heure après me voilà
chez moi. Je vais faire une bonne farce à ma
femme. Elle termine ses cours à 17 heures.
Dès que j'entendrai ses pas dans le couloir
je vais me cacher dans l'armoire pour sortir au moment
le plus opportun comme un diable de ma boîte.
Je fais une première tentative, en cachant
mon sac dans l'armoire, la surprise devant être
totale. Les planches sont à plusieurs endroits
disjointes et on a une vue correcte sur la porte d'entrée
mais imprenable sur la cuisine et le salon.En entendant
le bruit de clefs dans la serrure j'ai bien failli
ne pas être assez rapide. Elles est rentrée
s'est déshabillée, elle a déposé
son sac et elle est allé boire un verre. La
mode était encore aux mini et elle portait
un kilt rouge qui la rendait craquante avec des bottes
marrons à talon.
Je jubilais de la bonne blague que j'allai lui faire
et sur le coup je n'ai pas été étonné
par sa tenue qui était celle que je préférais
et qu'elle mettait pour moi lorsqu'elle voulait me
faire plaisir. Il faut dire que j'ai toujours bien
aimé voir le regard des hommes se porter sur
elle. Elle est ensuite allée dans le salon
et là surprise elle a enlevé sa culotte
s'est mise à soupirer avec des petits hauts
le cris dans la voix en passant plusieurs fois son
index dans sa fente. Le samedi précédent
elle m'avait demandée de lui faire une "coupe".
Cela faisait partie de nos jeux, j'égalisais
les poils blonds qui faisaient une touffe disgracieuse
au dessus de son clitoris. De là où
j'étais je pouvais voir sa fente à peine
recouverte d'un fin duvet.
Elle a toujours même 20 ans après une
très belle chatte bien fendue sur le haut du
ventre, presque indécente, un appel à
la bite.
Mon
excitation était montée d'un coup et
je serai sorti de ma réserve si un bref coup
de sonnette n'était venu interrompre le silence.
Elle a ouvert à un homme très brun que
j'ai tout de suite reconnu, Gérard, un prof
qui venait souvent avec sa femme Aurore pour prendre
l'apéritif. Il l'a tout de suite embrassée,
a passé une main sous son kilt qu'il a ouvert.
Il prenait possession, en habitué, ses gestes
ne laissant aucun doute. Il était le maître
et elle a légèrement écarté
ses cuisses pour laisser passer son vainqueur. Pendant
quelques très longues minutes ils sont restés
dans l'entrée à moins de 2 mètres
de moi. J'étais sonné, groggy , mais
curieusement, au lieu de tomber mon excitation ne
fît que croître. C'est elle qui l'entraîna
dans le salon, lui défit sa ceinture libérant
un sexe tendu presque à la verticale tant son
excitation devait être grande.
Son
membre, était d'une longueur moyenne mais d'un
diamètre impressionnant, 5 ou 6 cm de diamètre.
Elle commença consciencieusement à le
lécher en partant de la base et en remontant
vers le gland, elle enfoui à plusieurs reprises
sa langue entre ses cuisses et ses testicules comme
pour s'imprégner de son odeur ou pour les gober.
Puis elle se mit à le lécher lui arrachant
des cris de plaisir en pompant sur sa verge. Elle
n'arrivait pas à le prendre en entier dans
sa bouche tant son sexe était large et puissant.
Rien à voir bien sûr avec mon tout petit
bout de peau que je commençais à masturber.
Je mesurais trop bien la différence entre le
sexe de son amant large, dur, turgescent et mon minuscule
petit outil, mince et à peine érigé.
J'étais tétanisé, la bouche sèche,
mais toujours aussi excité. Je n'ai pas pensé
me manifester tant le plaisir de voir ma femme se
faire baiser était grand. Elle s'allongea sur
la canapé, les cuisses largement ouvertes,
je pouvais voir son petit minou chéri, offert
aux assauts virils de Gérard, les petites lèvres
qui bien dépassaient à peine de sa raie
bien fendue.
Il
s'enfonça d'un seul coup en lui arrachant un
petit cri "Tu vas me déchirer, fais attention".
Je compris alors mieux pourquoi depuis quelques temps
j'avais remarqué à plusieurs reprises
qu'elle avait son minou enflé avec les grandes
lèvres très rouges. J'avais aussi remarqué
à plusieurs reprises lorsque je rentrai le
vendredi soir son visage tout rose avec une peau comme
irrité par une barbe ! Il commença un
mouvement de va et vient ou l'on voyait tous ses muscles,
les cuisses, puis les fessiers se contracter dans
un mouvement de roulis. J'entendis à plusieurs
reprises ma femme pousser plusieurs cris rauques,
que je ne connaissais pas, comme si elle allait se
trouver mal. Le mouvement commença à
s'accélérer, je voyais le sexe de Gérard
s'enfoncer dans celui de Jany, ses deux énormes
bourses venir butter contre son vagin. D'un seul coup
ma femme se mit à hoqueter "Remplis-moi"
, elle imprima avec son bassin un rythme plus rapide
comme pour happer le sexe de Gérard et elle
éclata dans un orgasme bruyant et fabuleux
qui dura plusieurs minutes. Puis d'un seul coup les
muscles puis les bourses de son amant se contractèrent,
il se vidait en elle, inondant sa matrice de sa semence.
Il s'écroula sur le côté exténué,
le souffle court. Je voyais maintenant à nouveau
le minou de ma femme complètement inondé
de semence, un filet de sperme sortant de son vagin
. J'étais cocu, mais curieusement ni jaloux,
ni effondré, plutôt excité. Pendant
qu'ils rejoignaient la salle de bain pour se laver
je m'éclipsai moi et mon sac. J'ai rejoins
la gare ou je me calmai, je me raisonnai et une heure
après je téléphonai à
ma tendre épouse qui fut ravie de mon retour
et de la soirée au restaurant que je lui offris.
Elle me demanda comment s'était passé
le voyage , je lui répondis que le spectacle
du printemps au mois de mai était fabuleux..
Elle me parla des potins du lycée. "Ah,
au fait, la grande nouvelle se confirme et puis Chantal
aussi et elle est très contente, ils partent
pour le Midi, Gérard à eu sa mutation
pour Marseille-La Valentine et elle pour Cassis. Les
veinards ils vont avoir le soleil et la plage toute
l'année et puis ils ne travailleront qu'à
20 km l'un de l'autre. Ils partent ce week-end pour
chercher un logement sur Cassis. Seule ombre au tableau,
ce soir là nous ne fîmes pas l'amour
!
Jany était à nouveau irritée,
mais elle a bien voulu me montrer son minou et m'a
aidé a me masturber. La semaine suivante à
l'apéritif Jany trouva curieuse mais excitante
ma proposition de recevoir nos amis en kilt rouge
sans culotte. Le soir elle me dit "Tu es un amour,
quelle chance j'ai eu de t'épouser et.... "
Je lui mis un doigt sur les lèvres chut nous
n'en avons reparlé que bien après mais
ceci est une autre histoire. Vous allez sans doute
mal me juger mais j'étais et je suis encore
très amoureux de ma femme.
Ourtassi |